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Moby Dick

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  • Rang parmi les ventes : #108818 dans Livres
  • Publié le: 2011-03-21
  • Sorti le: 2011-03-21
  • Dimensions: 4.76" h x
    2.09" l x
    7.17" L,
  • Reliure: Poche
  • 943 pages

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5Inépuisable Melville
Par signalsuspect
« Qu'y a-t-il de réel, autre que les pensées qui sont sans épaisseur et sans poids ? », p.839.De Moby Dick d'abord, pour le lecteur qui n'a pas l'anglais dans la poche, il faut se choisir un traducteur. Un coup d’œil à la page Wikipédia aidera à faire son choix. Le débat sur la bonne traduction toujours oscille entre la fidélité au texte (coller à l'esprit de l'auteur, mais peut-on coller à un esprit ? la surface doit-elle être bien propre et sèche ? faut-il exercer une longue pression ?) et la beauté de la langue d'accueil. En somme, une bonne traduction est-elle une traduction juste ou une traduction belle ?De la vérité ou de la beauté, la seconde sauvera le monde, nous a révélé le prince Muichkine. La beauté peut donc suffire à faire le choix d'une traduction parmi tant d'autres. Celle-ci, très belle, est l'œuvre de l'éblouissant Armel Guerne.Le capitaine Achab s'attaque et s'acharne sur plus gros, plus fort que lui ; il façonne le mal qu'il combat et commet ainsi le péché d'orgueil. Achab reconnaît dans le cachalot blanc un mal qu'il lui faut combattre, pour sa gloire et le bien commun. Moby Dick demeure insaisissable. Il est effectivement le mal en ce que ses effets sont fatals aux marins ; mais il est aussi neutre, comme est neutre la mer, comme l'est toute la création. Moby Dick est le point dur du monde, une présence divine faite chair contre laquelle l'homme ne peut rien, l'homme ne doit rien. C'est une incarnation du monde aussi bien qu'une incarnation du péché d'orgueil de l'homme."Voilà que l'homme est devenu comme l'un de nous, pour connaître le bien et le mal ! Qu'il n'étende pas maintenant la main, ne cueille aussi de l'arbre de vie, n'en mange et ne vive pour toujours !" est-il dit dans la Genèse. Cette faculté de discerner le bien du mal écrase Achab d'un poids digne d'Atlas. Tout comme le Kurtz du "Cœur des Ténèbres" de Conrad s'appuie sur le commerce de l'ivoire, Achab s'appuie sur une autre « côte adamique » : une jambe en ivoire qui symbolise le commerce entre lui et Moby Dick, son mal. Le léviathan doit être le mal tandis que le bien sera cette chasse que lui livre sans relâche le capitaine du baleinier Péquod.Traque à corps perdus, traque en dépit du bon sens. Achab ne se soucie pas des pertes qu'il encourt, il est la figure du premier homme, celui qui déplut à Dieu :« Il gouverne contre le vent à présent, vers la gueule béante ! murmura Starbuck pour soi-même, tout en choquant la grande écoute aux nouvelles amures. Dieu nous protège ! mais déjà je me sens les os trempés dans ma peau, et comme noyé de l'intérieur. Je crains fort de désobéir à Dieu en lui obéissant ! », p. 895.Il est peut-être même l'unique homme ; les marins du Péquod sont ses enfants, ses munitions, ses outils. Il les lancera tous contre la bête s'il le faut. La félicité de la victoire n'est pas même ce qu'il recherche, la douleur du sacrifice y est préférable. C'est le prix de ce monde.« Si les suprêmes félicités terrestres [...] sont toujours frappées au cœur d'une certaine petitesse et d'une certaine insignifiance, les profondes douleurs ont au contraire toujours, au fond, une signification mystique, et, chez quelques hommes, une grandeur archangélique. C'est là une évidence que les apparences mêmes ne sauraient démentir. Car à reparcourir tout l'arbre généalogique de la haute misère humaine, nous parvenons en dernier ressort à ces dieux qui n'ont point été engendrés, ces primogéniteurs, eux-mêmes sans antériorité ; ce qui fait qu'à la face de tous les soleils de la Joie, mûrisseurs de blondes moissons, et à la face de toutes les rondes lunes de douceur caressant les foins parfumés, il nous faut, nous devons, nous ne pouvons pas ne pas le reconnaître : que les dieux eux-mêmes ne sont pas toujours dans la Joie, heureux toujours et à jamais. L'ineffaçable sceau de tristesse qui marque de naissance le front humain est leur héritage direct, le signe et la signature de leur douleur. », p.742-743."Ce perpétuel combat de la nature humaine contre Dieu", disait Bloy. Moby Dick est une des plus belles interprétations de cette "inépuisable Douleur".

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4De l'action , de l'envergure ....
Par Finity's end
En préliminaire je tiens à préciser que je ne suis pas un littéraire et je précise de surcroit que si je suis sensible à la beauté et à la grandeur des textes et aux effets de style ,j'ai la fâcheuse habitude de considérer les romans et tous les autres types de textes littéraires comme des sources historiques ou autres ( même les textes contemporains ) ...Je ne reviendrais pas sur les aspects grandioses et envoutant de Moby Dick qui en font un fabuleux roman d'aventure édifiant ...Ce texte est moins un texte épique que un conte moral selon mon humble avis .Sur le contexte général , je voudrais insister sur le fait que ce texte est quasiment un commentaire biblique qui tourne autour du Mal , qui est ici étudié dans ces différents aspects ( typologie ) mais surtout dans ses conséquences et ses procédés ..Il s'agit d'un véritable monument de la littérature anglo-saxonne et sa résonnance fut immense dans ces sociétés où la bible était intimement connu de toute personne du fait des oeuvres de mise à disposition des deux testaments bibliques A LA PORTEE D'UN LARGE PUBLIC QUI LES CONNAISSAIENT ET LES RESSENTAIENT INTIMEMENT ...Le lecteur contemporain ne doit pas faire l'impasse sur cette donne au risque de tâtonner dans ses efforts pour comprendre intimement ce texte intimisme et intense sur la lutte du bien et du mal dans chaque conscience où les idées se déchainent comme les éléments et qui représente surtout le lieu où le libre arbitre ne semble pas toujours avoir sa place ,ce qui légitime le fait et la nécessité de présenter au public des imago apparemment soumises à la fatalité et destinées à nourrir une profitable réflexion .Il ne me semble pas utile ici de présenter ce roman en détail et je ne souhaite pas non plus « spoiler « ,aussi je me contenterais de revenir sur les aspects et valeurs bibliques qui seront une piste utile pour appréhender ce texte à la manière des lecteurs contemporains de sa rédaction , qui soyez-en certains n'ont pas manqué de faire des associations d'idées avec des épisodes bibliques qui se télescopaient avec leurs expériences personnelles ...Ismaël premier fils d'Abraham porteur d'espoir et au destin grandiose mais avortée en grande partie , car non dépositaire de l'alliance avec la divinité finalement .Il symbolise la réponse humaine à la stérilité de la matriarche Sarah et il n'est que cela finalement .C'est un personnage très touchant , aimé de de dieu et qui de par sa destinée devra faire son chemin seul et qui devra compter sur ses propres ressources morales et matérielles pour réussir sa vie dans un anonymat biblique assez remarquable et lourd de sens ..N'est-ce pas le destin de la plupart des êtres humains qui ont vécu et qui vivront jamais .. ??Achab , roi d'Israël et persécuteur des prophètes sectateur à certains moments des dieux aux cultes interdis par l'alliance sacrée ..Achab mourra et les chiens laperont son sang royal .Achab est dans l'erreur et il symbolise la volonté qui se nourrit d'hubris au dépend de la sagesse qui consiste en grande partie à être clairvoyant en matière de dessins divins .Achab est aussi à plaindre et dieu n'a pas fait que s'acharner contre lui et il a su répondre à ses prières lorsqu'elles furent sincères ..Il est touchant car le repentir ne lui est pas inaccessible et parce que il témoigne de ce que la volonté ne suffit pas toujours pour s'affranchir de l'erreur de jugement et pour ne pas courir à sa perte.Elijah fait référence à Elie ( Eliyahou ) le prophète de la rédemption , des temps messianiques et de la libération D'Israël ..Il a prophétisé la venue du rejeton de David mais il reviendra aussi annoncer la parousie en même temps qu'il sera le témoin de l'effort des hommes pour accueillir ou rejeter la rédemption ..Ill est donc prophète mais témoin sacré également ..Cet aspect est à mettre en rapport avec l'Ismaël et l'Achab du roman ..YONAS ( yns ) prophète est la clef de la compréhension du personnage ( ou de la métaphore ? ) du cachalot blanc ..Il séjourna dans le ventre d'un grand poisson dans la grande mer ( Yam hagdola -la méditerranée ) .. son nom est ambigu car en hébreu il signifie colombe et en araméen : -grand - poisson ...Il se lèvera pour prophétiser la chute de Ninive que dieu épargnera car ses habitants jeuneront en signe de repentir et au contraire d'Achab qui mourra dans la honte posthume ...Le cachalot est blanc comme la colombe ...Jonas est par ailleurs le seul prophète capable de s'apitoyer de la mort d'une simple plante !Le cachalot du roman avale Achab plus qu'il ne le mange ...Ce roman est beaucoup plus que la simple figuration de la lutte du bien et du mal .Il est le témoignage que rien n'est simple et que la victoire du bien ne peut être que le résultat de la volonté et de l'effort et que ce drame se joue et se rejoue perpétuellement dans chaque conscience qui fut et qui sera ...Moby Dick est quasiment la scénarisation d'une psychè , c'est l'effet que me fait ce texte ...

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5Ô Léviathan ! Epargne nous, pauvres mortels !
Par Darko
"Tout contre quelque promontoire sont tapisLes léviathans énormes, attendant leurs proies;Et le fretin sans nul espoir est englouti,Qui dans leur gueule ouverte a égaré sa voie"Le 12 août 1819, le trois-mâts baleinier Essex, sous les ordres du capitaine Pollard, appareille de l'ile de Nantucket pour une campagne de pêche qui doit durer trois ans. Nul ne sait encore que le navire ne reviendra jamais à son port d'attache et que l'équipage vivra les pires tourments de la création, victimes d'un événement pour le moins extraordinaire...Le 20 novembre 1820, au milieu du Pacifique, l'Essex met ses baleinières à la mer à la poursuite d'un banc de cétacés, lorsqu'il est subitement attaqué par un cachalot de grande taille (25 m selon les témoignages). Heurté par deux fois, frontalement et latéralement, le navire donne rapidement de la gîte avant de se coucher et de sombrer inexorablement, sans que l'équipage n'ait rien pu faire pour le sauver. Pour les 20 marins de l'Essex c'est le début du calvaire; après trois mois d'errance en mer et un périple de 5000 km, au cours duquel, sans ressource, beaucoup mourront d'inanition, les naufragés restants ne devant leur survie qu'à la pratique du cannibalisme, seuls 8 rescapés parviendront à rallier les côtes du Chili, sauvés in extremis par quelque navire de commerce.L'histoire fera sensation dans les milieux marins et sera portée à la connaissance d'Herman Melville en 1841, par le fils du second de l'Essex, Owen Chase, qui avait relaté le périple macabre dans un ouvrage au titre pour le moins explicite : "Récit du plus extraordinaire et désolant naufrage du baleinier Essex, qui fut attaqué et finalement détruit par un grand cachalot dans l'océan pacifique ; avec un compte rendu des souffrances sans égales du capitaine et de l'équipage durant quatre-vingt treize jours en mer, dans les années 1819 et 1820" . Très impressionné par le récit, l'écrivain américain en tirera la matière de son chef d'oeuvre : "Moby Dick".Ayant vécu une bonne partie de mes jeunes années dans un petit port breton, habitué au ballet quotidien des chalutiers, je ne m'étais jamais vraiment interrogé sur la pêche à la baleine. Sans doute parce que durant les années 70, les images insoutenables des baleiniers modernes tirant au canon sur des cétacés sans défense, qui avaient révolté l'opinion, avaient achevé de me convaincre que tuer des baleines était mal et effectivement, dans ces conditions, ça l'était. Il n'empêche cependant que la pêche, ou plutôt la chasse au cachalot, telle qu'elle se pratiquait au XIXème siècle demeure quelque chose de fascinant. Il fallait en effet être fou à lier, inconscient, desespéré ou à tout le moins fort courageux pour aller affronter le Léviathan sur des baleinières à peine plus grandes que des chaloupes, mues à la force du poignée et lui planter un harpon dans la couenne en espérant qu'il se tienne tranquille ! Et de fait, beaucoup n'en revinrent jamais, fracassés qu'ils furent par la gigantesque queue de l'énorme cétacé. Si la grande pêche reste un métier à risque, la chasse au cachalot était sans nul doute le plus dangereux de tous !"Moby Dick" se révèle plus qu'un roman racontant la quête crépusculaire du ténébreux capitaine Achab, à la poursuite du monstre qui un jour lui dévora la jambe ou bien encore, selon les interprétations, le combat symbolique du bien contre le mal, de l'homme contre la nature, voire de l'homme contre lui même ("Que Achab prenne garde à Achab, méfie-toi de toi-même vieil homme !"); c'est avant tout un véritable traité de cétologie, un guide complet de chasse à la baleine dans lequel on apprend tout ce qu'il faut savoir sur l'ordre des cétacés, leur anatomie, leur alimentation, leur reproduction, comment on les repère en mer, comment on les chasse, comment on les tue et comment on les dépèce pour en retirer toutes sortes de sous-produits (huile, steak, ambre gris, ivoire, baleine à corset....), car il s'agissait bien à l'époque d'une véritable industrie mobilisant des milliers d'hommes et de navires; des descriptions qui prennent souvent le pas sur le récit lui-même et qui pourront en décourager plus d'un (il existe d'ailleurs des versions abrégées de l'histoire), d'autant que lire "Moby Dick" constitue également une réelle épreuve, un combat de chaque instant pour venir à bout de ses 925 pages, écrites dans un style certes brillant, mais souvent difficile, voire cryptique, bourré de références bbliques (le mythe de Jonas), de passages obscurs et de digressions délirantes, censées illustrer la folie du capitaine Achab.L'ouvrage est un monument érigé à la gloire de marins téméraires, ainsi qu'une ode à la folie humaine. Sur le Péquod, navire maudit, tous ont fait serment de tuer la baleine blanche et de suivre leur capitaine jusqu'en enfer, ce qu'ils feront, à l'exception d'Ismaël le conteur de l'histoire, et comme l'Essex, le Pequod ne reverra jamais Nantucket...

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